En l’an de grâce 2003 fut inauguré par l’honorable Nian Cai Liu et son équipe de l’université de Jiao Tong le désormais célébrissime « Classement de Shanghai des universités du monde ». Chaque année depuis lors, au cœur de l’été, autour du 15 août, les médias, toutes catégories confondues, célèbrent le palmarès chinois, singulier « marronnier » parmi les incendies de forêts et autres festivals. Pourtant, selon quelques avis compétents, ce classement ne vaudrait pas grand-chose, voire rien. Mais il en faut davantage pour décourager la gent médiatique et quelques acteurs associés, qui ont d’autres intérêts en jeu.
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>> Le classement de Shanghai des universités : une pernicieuse addiction médiatique